lundi 19 novembre 2012


La haine et le mépris antifrançais d’Houria Bouteldja impunis.

Le 19 novembre 2012, la Cour d’Appel de Toulouse l’a relaxée de ses propos sur les « sous-chiens », ces blancs qu'il faudra bien « éduquer ».

Rejetant la plainte en appel de l‘AGRIF et ne suivant les sévères réquisitions du Parquet, la Cour d’Appel de Toulouse, présidée par le juge Bastié, a prononcé la relaxe d’Houria Bouteldja, acceptant de la croire quand elle affirme n’avoir pas traité de « sous-chiens » « ces blancs qu’il faut bien nommer » et qu’il faut « éduquer », mais de souchiens.

L’islamo-gauchiste Houria Bouteldja, et son PIR (« parti des indigènes de la république » !) et son idéologue Saïd Bouamama, l’auteur du livre « Nique la France » ont de quoi être satisfaits. Et avec eux, ils ont de quoi hurler leur joie, ceux de leur bande qui les accompagnaient, comme les rappeurs de la haine, devant le tribunal de Toulouse et éructaient « On nique la France ».

Houria Bouteldja pourra allègrement continuer à exalter la victoire sur notre armée du Viet-minh communiste à Dien-Bien-Phu. Et les fils et petits-fils rescapés de cette tragédie où moururent au combat ou dans les camps d’extermination tels que le camp 113 du tortionnaire Boudarel, ces enfants des soldats de la boue, d’origine métropolitaine, indochinoise ou africaine, doivent se persuader – lavage de cerveau oblige ! – qu’ils sont des « enfants de salauds ».

Président de l’AGRIF, j’exprime, la rage au cœur, ma grande tristesse devant l’impunité accordée au racisme d’Houria Bouteldja à Toulouse, la ville hélas de Mohamed Merah. Cet arrêt de la Cour d’Appel de Toulouse est un dur revers pour ceux qui veulent épargner à leur peuple la montée du racisme et des terribles épreuves de guerre civile et peut-être sa réduction finale dans une soumission honteuse.