lundi 11 mars 2013

Mohamed Merah.


Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

La triste commémoration des abominations perpétrées il y a un an par Mohamed Merah appelle un certain nombre de remarques et d’interrogations au-delà même de celles posées par les médias.

1) Pourquoi, avec tant d’obstination, après les bévues de la rue des rosiers, de la rue Copernic et du cimetière de Carpentras, si justement dénoncées par Maître William Goldnadel, s’être encore acharné fantasmagoriquement à n’enquêter que sur la piste invraisemblable de « l’extrême-droite » ?

Cette obsession a, ni plus ni moins, entraîné l’horrible massacre de l’école juive de Toulouse. En l’occurrence, des magistrats, des responsables de la police devraient répondre de cela pour faute professionnelle lourde devant les tribunaux.


2) Comment a-t-il pu se faire que le touriste terroriste Mohamed Merah ait pu se balader en taxi de Damas à Jérusalem sans qu’attention soit prêtée aux tampons qu’il avait, ou n’avait pas,  sur l’un ou l’autre de ses deux passeports, le français et l’algérien ? À l’évidence Mohamed Merah bénéficiait de la complaisance des « services » français et de la confiance crédule incroyable qu’ils ont obtenue de la part des « services » israéliens. Pourquoi s’attarde-t-on si peu sur ce fait ?


3) La mère de Mohamed Merah et le psychiatre qui l’avait suivi antérieurement en prison mettent en avant son déséquilibre psychique entraîné par « l’absence du père ». On apprécie cela à un moment où l’on exalte les familles monoparentales et la destruction de l’unité humaine pleinement réalisée dans le couple.


4) La mère de Mohamed Merah, comme ce psychiatre, évoque l’influence de la lecture du Coran chez son fils. Ne serait-il point temps de considérer l’importance des phénomènes de l’action psychologique dans le Coran et par le Coran, livre s’il en est de modélisation et légitimation de la violence dont les musulmans sont les premières victimes ?

La police de la pensée du politiquement correct va-t-elle encore longtemps censurer et punir toute réflexion scientifique sur cette question ?